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Publié par Raphaël DIDIER

ancienne television

Tel fut le titre de l'interview que m'a accordé le Républicain Lorrain de Sarreguemines. Surprise par mon style bouillonnant et ma libre pensée, la très sympathique journaliste a pu constater tout au long de notre entrevue que l'économie relevait souvent dans les médias d'une certaine "expertocratie", que je dénonce vigoureusement dans mon dictionnaire révolté d'économie !

 

Une copie de ce très long article est disponible ci-dessous, il suffit de cliquer dessus pour l'agrandir :

 

RL 7 septembre

 

[ Cliquer sur l'image pour l'agrandir ]

 

 

Dans le contexte actuel de crise, il est attristant et affligeant de voir les dirigeants politiques chercher plus à rassurer les marchés financiers que les citoyens, en administrant à ces derniers des plans de rigueur censés leur assurer un avenir radieux... le jour où la crise sera passée !

 

Pourtant, si j'en juge par le nombre de fois où l'on me demande s'il y a un risque pour les économies - nos petits sous - placées en banque, on sent qu'il y a des craintes profondes qui refont surface. Je dis "refont surface", car de telles peurs avaient déjà existé au moment de l'éclatement de la bulle des subprimes (on pense à Northern Rock en Angleterre) et en particulier après la faillite de Lehman Brothers. Ne parlons pas non plus de l'onde de choc qui s'est propagée suite à la perte monumentale de trading due à Jérôme Kerviel et qui semble depuis être devenue un grand classique dans les banques, comme en témoigne l'inculpation la semaine dernière du trader de la banque suisse UBS accusé d'être à l'origine d'une fraude de près de 2 milliards d'euros.

 

Cela nous rappelle, si besoin était, que la finance a définitivement perdu la tête ! Et si les citoyens récupéraient enfin le pouvoir économique ?


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