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Publié par Raphaël DIDIER

Flyer-recto-2013.jpg

 

De nombreux États de l’Union européenne s’engagent actuellement dans une réduction drastique des déficits publics. Les Français, de leur côté, sont soumis à une rigueur historique pour ramener le déficit public en deçà des 3 % du PIB : hausse des prélèvements obligatoires de 22 milliards en 2012, 24 milliards en 2013, et une baisse de 15 milliards d'euros des dépenses publiques en 2014 !


Or, malgré ces politiques de rigueur, le déficit public de la France en 2013 est supérieur aux 3,7 % du PIB attendus, ce qui a débouché sur de nouvelles mesures d’austérité pour 2014 : abaissement du quotient familial, coupes dans les dépenses de la Sécurité Sociale,… A cela s’ajoutera la hausse du taux général de la TVA qui passera à 20 % le 1er janvier 2014, dans le cadre du plan de compétitivité.

C’est dans ce contexte que la médiathèque de Forbach m'a invité à animer une conférence-dédicace gratuite, afin d'expliquer les politiques d’austérité et surtout leurs conséquences pour le pays ainsi que pour chacun d’entre-nous :

 

Affiche-austerite-dedicace.jpg

[ Cliquer sur l'image pour l'agrandir ]

 

Celle-ci aura lieu le samedi 16 novembre à 14h45, dans les locaux de la médiathèque de Forbach. S’ensuivra un échange avec le public et une séance de dédicace de mes deux derniers livres grand public, les grands débats économiques actuels (Ellipses) et la grande saignée économique (ILV-édition).

 

L'entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles.

 

Le Républicain Lorrain vient du reste d'annoncer mon intervention dans ses colonnes :

 

RL-11-novembre-2013-2.jpg

[ Cliquer sur l'image pour l'agrandir ]


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S
On ne change pas de monnaie comme de chemise. Je vous laisse imaginer les conséquences d'une telle décision.<br /> <br /> La monnaie ce n'est pas le problème. Le problème c'est la nature égémonique du système. Il faudrait plutôt commencer par donner le pouvoir à la base.<br /> <br /> Toutefois, ce genre de réflexion n'est pas à la portée de ces 60 millions de cerfs. Ils n'ont aucun sens des responsabilités puisqu'ils n'ont aucun pouvoir décisionnel.<br /> <br /> Ce n'est pas leur faute, ils sont comme ça c'est dans leur nature.<br /> <br /> Les gens sont ce qu'ils sont, on ne peu pas les changer.
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R
<br /> <br /> Si on n'anticipe pas la fin de la zone euro qui est proche, alors ce n'est plus seulement la chemise qu'on y laissera et le roi sera nu ! La monnaie unique est<br /> un vrai problème, surtout lorsqu'elle n'est adossée à aucune structure politique fédérale. Et c'est précisément parce que certains politiques ont tellement répété que l'avenir de la monnaie<br /> unique était indissociable de celui de l'UE, que les citoyens n'arrivent plus à se projeter au-delà de cette crise...<br /> <br /> <br /> <br />
S
"des 3 % du PIB : hausse des prélèvements obligatoires de 22 milliards en 2012, 24 milliards en 2013, et une baisse de 15 milliards d'euros des dépenses publiques en 2014 !<br /> <br /> Pour bien faire il faudrait un excédent de 5% non ?<br /> <br /> Et oui, si l'inflation passe à 10% c'est la révolution. Donc pas le choix faut faire de la dette avec un grand D.
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R
<br /> <br /> "Donc pas le choix faut faire de la dette avec un grand D" : et si on changeait plutôt la zone euro, qui explosera tôt ou tard, en commencant par réfléchir à une<br /> monnaie commune mais non unique ?<br /> <br /> <br /> <br />
F
Je me demande même si le mot austérité était nécessaire dans le titre de ton intervention ?
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R
<br /> <br /> Je me posais la question moi aussi...<br /> <br /> <br /> <br />